J’ABORDE LE DROIT AVEC PRAGMATISME POUR UN FUTUR APAISÉ
Contact
30 ANS D’EXPERTISE JURIDIQUE
Un licenciement, un divorce, un conflit familial lié à une succession… peuvent provoquer des séismes. Aux côtés des salariés, des entreprises, de ceux qui se séparent ou font face à un deuil, j’apporte des réponses, je les aide à anticiper, à envisager les conséquences d’une décision, à préparer un futur apaisé.
Le traitement juridique a nécessairement une part d’accompagnement personnel. Travaillant sur des problématiques humaines, j’apporte aussi à mes clients un soutien psychologique.
DROIT DU TRAVAIL - DROIT DE LA FAMILLE, DES PERSONNES ET DES SUCCESSIONS
Expertises
- Exécution du contrat de travail
- Préparation d’un portage salarial
- Rupture conventionnelle
- Licenciement
- Transaction
- Divorce, garde des enfants, violences conjugales
- Séparation de concubins,
- Liquidation de régime matrimonial
- Successions
- État-civil et filiation
- Protection des majeurs
- Préparation d’un contrat de travail
- Exécution de la relation de travail
- Rupture
- Médiation
- Droit collaboratif
- Résolution de conflits
Témoignages des clients
AVOCATE ET MÉDIATEUR
Le contact avec les autres, l’échange, l’humain relient mes choix professionnels d’avocate, de médiateur et mes engagements bénévoles.
Après 20 ans en entreprise, je suis avocate depuis 2006.
Sensible aux interactions humaines, pratiquant l’approche systémique, j’exerce une activité complémentaire de médiateur. Avocate ou médiateur, pas les deux ensemble, et toujours animée de valeurs fortes.
LIBERTÉ
passer de la voie judiciaire
à l’espace amiable
Les actualités
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Les époux et partenaires pacsés sont solidairement responsables du paiement des loyers et charges. Si l’un donne congé au bailleur, l’autre reste locataire, mais le couple reste tenu du règlement des dettes locatives. Lorsque le locataire quitte le logement en raison de violences commises envers lui-même ou exercées sur un enfant vivant au foyer par son conjoint, son partenaire pacsé…
Le retrait bancaire sur le compte du défunt avant son décès rentre dans le calcul des droits de succession si l’administration fiscale prouve que l’argent a été conservé par l’intéressé. L’arme redoutable : le faisceau d’indices. Monsieur a 95 ans. Onze jours avant son décès, il retire 10.000 € à la banque. Son ordinaire (alimentation, habillement, etc…) est très inférieur aux…